Les lignes de Nazcas au Pérou

1840

Des signes vus du ciel, mais d’où viennent-ils ?
Dans des régions très inhospitalières, la où la sécheresse et la chaleur dominent, ou les longs plateaux n’aident la vie en aucun cas, il y eu des découvertes très intéressantes.
Parmi toutes les découvertes faites par l’homme, les lignes de Nazcas restent l’une des découvertes laissant pleins d’interrogations la plupart des personnes ayant cherchées à les étudier, à les comprendre.
Pour l’instant aucune raison ou explication n’est donnée à ce phénomène qui reste totalement compréhensible pour l’homme.
Ces dessins, ou figures, ou simples lignes droites s’étalant sur des kilomètres, ne sont visibles que du ciel. Personne ne les aurait vu, même s’ils avaient silloné la région à pieds pendant toute leur vie…
Et c’est bien pour cela que c’est un aviateur Péruvien, en 1927, qui a aperçu pour la toute première des tracés qui s’étalaient sur une distance immense, formant des figures fidèles aux originales et très précises.
Il y en a qui représentent des singes, des araignées, des colibris, d’autres des formes, comme des spirales, et de longues lignes parallèles.
Elles auraient été faites dans les années -300 à -600. ce qui a permit leur conservation très proche à ce qu’elles étaient a l’origine est que la région est un plateau très sec, ou il y a très peu de vent et où il fait chaud.
Mais qui aurait bien pu tracer ces lignes visibles uniquement du ciel et qui des fois même représentent avec exactitude des animaux ou des figures célestes ? Serait ce fait de la main de l’homme ou d’un « artiste » extraterrestre qui serait passé nous rendre visite il y a bien des années de ça?
Elles seraient pour certains des pistes d’atterrissages, pour d’autres des desseins artistiques fais par les civilisations antérieurs, et pour une minorité, une touche extraterrestre voulant nous faire passer un message…
Mais pour l’instant tout n’est que spéculation… nous ne savons ni qui les a fait, ni pourquoi, ni comment ?
Pour le moment nous n’avons qu’une seule certitude. Elles sont bel et bien la, démontrant que notre passé est vraiment un infini inconnu…

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